À l'issue du premier tour des présidentielles 2007, le dimanche 22 avril, en comptant très large, la gauche a péniblement totalisé 10,62 % des suffrages exprimés, répartis sur six candidats. Son plus faible score depuis des années. Ridicule.
Pourtant une bataille politique ne s'abandonne pas à la première défaite, un navire ne se quitte pas à la première voie d'eau. Pour ma part, je suis prêt à poursuivre l'aventure vers la recomposition d'une vraie force de gauche sociale, non libérale.
Sous quelques conditions.(...)
La suite dans "les Chroniques du Yéti"...
mardi 1 mai 2007
MES CONDITIONS (par Le Yéti, vendredi 27 avril 2007)
Libellés : chroniques du Yéti
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
______________________________________________
archives du blog
- février (1)
- janvier (7)
- décembre (5)
- novembre (28)
- octobre (34)
- septembre (11)
- août (3)
- juillet (6)
- juin (8)
- mai (4)
- avril (6)
- mars (19)
- février (5)
- janvier (1)
- décembre (9)
- novembre (12)
- octobre (3)
- septembre (7)
- août (3)
- juillet (2)
- juin (14)
- mai (19)
- avril (16)
- mars (8)
- février (22)
- janvier (31)
- décembre (22)
- novembre (14)
- octobre (16)
- septembre (14)
- août (6)
- juillet (10)
- juin (19)
- mai (29)
- avril (16)
- mars (8)
- février (8)
- janvier (30)
- décembre (20)
- novembre (5)
- juin (2)
- mai (12)
- avril (29)
- mars (8)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire